«Pain et baisemain dans mon Canada où tout est grandiose (y compris les réfrigérateurs)»

par Mariagrazia Sinibaldi – de Gatineau (Canada)

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Mariagrazia poursuit son “reportage” du Canada en racontant sa visite à une maison-musée du pain. Dans la photo, elle est en compagnie du gentleman en habit d’époque qui lui a fourni des informations détaillées, après l’avoir accueillie avec le baise-main de coutume. Cet article il etait traduit par le professeur Sergio Angelo Picchioni qui a contribué aussi à la publication de “È come vivere ancora”, premier livre par Mariagrazia Sinibaldi, édité par la présidente de la Association Donne della realtà, Paola Ciccioli

Dans ce pays où est sur une échelle grandiose, des rivières aux arbres dans les rues, aux parcs où jouent les enfants et les adultes, où d’espace disponible il y a en a tant, enfin vraiment beaucoup, où même les maisons qui ressemblent à de minuscules contiennent de grandes choses: réfrigérateurs, machines à laver, bouilloires, chambres et cuisines qui son véritables cuisines, salles de bains immenses (et voilà notre bains tellement peu spacieux). Dans ce pays où le supermarché à la taille d’une usine automobile, où les machines sont presque toujours SUV, dans ce pays, je l’ai dit, il y á un moulin qui moud le blé encore avec des roués en granit. Les annexes sont la maison de maître (1850), maintenant un musée, et une boulangerie avec une infinie qualité de pain, où un vieil homme barbu aimablement vend du pain et de la farine à moulin.

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«How, after wandering about villas and houses, the police helped me to find my way back home»

by Mariagrazia Sinibaldi – from Gatineau (Canada)

 Mariagrazia during her stay in Canada

Mariagrazia during her stay in Canada. Our senior blogger wrote about her holidays in the book “È come vivere ancora”, cured by Paola Ciccioli and published by Associazione Donne della realtà

The number 17, as you know, is a despicable number: coward, untrue and traitor. What would it have cost it to stay home and wait for the return of the signora Vecchiottina whom, with her 80 (and counting) years of age, had decided to travel across the ocean for her granddaughters’ graduation, already eighteen years old, but for her, signora Vecchiottina, always her “PIZZIRICCHIA”, her sweetie pie. Besides, just across the ocean, his cousin 17 served as a good luck charm!

But no sir! Her 17, stealthily, maliciously, had glued himself to her, and had arrived with her in Canada and when best he pleased, not caring about the local customs, struck mercilessly…

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«Gira che ti rigira tra le villette, per ritrovare casa mia è dovuta intervenire la polizia»

di Mariagrazia Sinibaldi – da Gatineau (Canada)

Mariagrazia in questi giorni in Canada

Mariagrazia in questi giorni in Canada

Il 17, si sa, è un numero dispettoso al limite della malignità: vigliacco e falso e traditore. Che gli ci voleva restare a casa sua e aspettare il ritorno della Signora Vecchiottina che, coi suoi 80 anni (e mesi), aveva deciso di attraversare l’oceano per la gran festa della maturità di sua nipote, ormai diciottenne, ma per lei, Signora Vecchiottina, sempre sua PIZZIRICCHIA?! Oltretutto proprio al di là dell’oceano il suo cugino 17  fungeva da portafortuna!

Ma nossignore! Il suo 17, quatto quatto, malignamente, le si era appiccicato addosso, era arrivato con Lei in Canada e al momento suo, infischiandosene di usanze locali, aveva colpito senza pietà… Continua a leggere